Le « skieur-pêcheur » que je suis ne peut pas s’empêcher de lever le nez et d’imaginer la lente descente des cristaux transformés à maintes reprises, empruntant des chemins différents, restant à l’air libre ou percolant au travers des nappes, arrachant aux supports les particules invisibles, baignant nos protégés et leur donnant des caractéristiques de tailles et de couleurs spécifiques.
C’est beau lorsque le pied de l’homme n’y est pas encore passé!