Au cœur de l’hiver, le grand blanc avait tout recouvert. Il aura fallu quelques précipitations en altitude pour déclencher un nombre impressionnant d’avalanches et de coulées. Ici plus qu’ailleurs…le printemps se mérite!
Encore une occasion de souffler en montant, de siffler en descendant, d’observer Chamois et Bouquetins, de surprendre les Farios du Doron et de glisser dans les bois lorsque le brouillard du « couvre feu » monte de la vallée et recouvre les cheminées…
Pour moi…la Nature…c’est ça!!
Magnifique, Laurent!
Trop chouette, Laurent!